"Échos tragiques de l'Afrique contemporaine : La violence politique, une quête meurtrière du pouvoir et l'appel pressant à l'avènement d'une ère de paix et de dialogue."

Publié le par Crieur public

La violence est une réalité intemporelle qui a marqué de nombreux continents à travers l'histoire. Cependant, notre époque contemporaine, en Afrique, est malheureusement le théâtre d'une manifestation éclatante de cette violence, où le terrorisme et la répression politique en sont les manifestations les plus frappantes. Cette situation est si préoccupante qu'on pourrait la qualifier d'euphémisme.

La quête du pouvoir pousse certaines factions à anéantir tout sur leur passage au sein des États, faisant ainsi place à une destruction inquiétante et à des carnages sans précédent. Ces actes barbares rappellent les agissements sanguinaires et sauvages d'un roi des temps modernes, où la quête du pouvoir s'accompagne d'indifférence face aux vies humaines sacrifiées, qu'il s'agisse d'hommes, de femmes ou d'enfants.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

victime de répression du 20 octobre 2020 au Tchad 

Face à cette violence politique, les opposants politiques se voient contraints à l'exil, abandonnant ainsi leur terre natale, leur famille et leurs amis, pour échapper à un pouvoir prétendant être démocratique mais étouffant la liberté d'expression. Dans d'autres régions, des actes de génocide, commis avec une folie meurtrière, révèlent la prévalence de la violence armée dans le débat politique.

Il est vrai que la violence n'est pas une caractéristique exclusive de l'Afrique, d'autres continents ont également été marqués par des actes violents tels que l'Holocauste sous Hitler, les conquêtes napoléoniennes ou les guerres d'Homère. La violence est une réalité humaine qui traverse l'histoire et témoigne des désaccords et des conflits entre les sociétés.

Pourtant, la violence contemporaine semble être exacerbée par ceux qui ont perdu tout espoir et tout repère. Elle reflète la détresse des individus et des nations, plongeant l'humanité dans un profond désarroi existentiel, et semble échapper à toute analyse rationnelle.

En Afrique, notamment au Sahel, les terroristes opèrent sans véritable programme ni idéologie, se contentant de massacrer des innocents. Malgré les sommets et les promesses sécuritaires du #G5_Sahel, la sécurité dans cette région demeure précaire.

Au Congo, la lutte fratricide entre les factions de #Sassou et #Lissouba a embrasé le pays, rappelant les épisodes violents des #cobras et des #Ninja de la démocratie. La démocratie, dans de telles situations, semble se nourrir de la vie même de ses enfants.

Au Tchad, depuis longtemps, un guerrier assoiffé chasse un autre, perpétuant un cycle de violence destructrice. Des régions telles que le Zaïre de Mobutu, la Somalie, le Rwanda ou encore la Côte d'Ivoire, ont également été le théâtre de violences meurtrières.

En République centrafricaine, la kalachnikov est devenue un moyen de subsistance pour certains. Des bandes armées écument le pays, occupant des villes pour ensuite en être chassées. Cela entraîne des viols et des pillages commis par une cohorte de flibustiers, révélant ainsi le désir pressant de certains peuples africains de simplement survivre, plutôt que de se confronter à des discours vides de sens et à des directives sans fondement.

Dans les tropiques africains, l'unique espoir qui prévaut est celui de la survie. Cette réalité tragique appelle à la réflexion et à l'action, et nous rappelle les paroles de Nelson Mandela, grand défenseur des droits de l'homme et de la paix, qui disait : "La violence est-elle la meilleure méthode pour résoudre nos problèmes ? Je crois que la première chose que nous devons essayer de faire est de nous convaincre les uns les autres à travers des méthodes pacifiques et constructives." La voie de la non-violence et du dialogue est sans aucun doute celle qui mérite d'être suivie pour bâtir un avenir meilleur pour l'Afrique et l'ensemble de l'humanité.

#Terrorisme #G5_sahel #Sahel #Lwili #Tchad #CMT #Democratie #Violence #Africtivistes #kebetu 

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article