Crise sécuritaire et humanitaire au Burkina
« Bien avant Cette pandémie de corona, la crise sécuritaire à déployer ces sur le Burkina. Le terrorisme son show dans sahel.
Conséquence !
Pour sauver leur peau, ils étaient obligés de fuir leur zone et chercher un abri sous d’autres cieux.
Comme si cela ne suffisait pas, Une pandémie sans précédent, COVID-19, vient donner le coup de grâce.il inflige très fort et dans tous les sens qu’en dépit de prévision des grandes puissances, l’économie mondiale a pris un choque. Qu’en serait-il le cas des pays tiers-mondiste dont l’économie est dépendante à 80 % des autres ? »
Cette pandémie sans précédent qui a secoué le monde entier. Les grandes puissances ont assisté à leur impuissance. Le monde vient de prendre un coup sur plusieurs plans.
Nous allons nous pencher sur le cas Afrique de l’ouest, précisément sur le cas du Burkina Faso.
A l’instar des autres pays africain, le #Burkina a connu aussi cette crise. Cette pandémie a occasionnée beaucoup de problème parmi tant d’autres que nous citerons le problème socio-économique, politique. Les gestes barrières ont contribués à remédier aussi un temps soi peux a notre traditionnelle manière de se saluer, notre cohésion social. On ne se tient plus les mains, se regarder dans les yeux en se disant bonjour ou encore se serrer fort dans les bras.
#Ouagadougou mise en quarantaine, confinement Général, des marchés, des entreprises, des écoles, de certaines activités rémunératrices de revenus ferment leurs portes, mettant ainsi beaucoup des ouvriers et des employés en chômage, fermeture des frontières avec des pays limitrophe. Ainsi donc pas d’entrée, pas de sorti. Nous avons épuisé le peu de stock que nous avons jusqu’à toucher le fond.
Nous avons surmonté cette situation tant bien que mal mais avons-nous pensé à la répercussion à long termes ?
L’aspect épidémiologique de #COVI-19 est certainement sous nos pioches mais son fantôme économique sommeil encore dans nos couloirs. Son réveil serait très dur surtout pour les pays tiers-mondistes comme le notre.il va falloir y penser dès maintenant sinon le diable ne sera pas seulement tirer par la queue mais il aménagera même à la maison. En réalité cette crise ressemble un peu du « black thursday ou encore le jeudi noir du 1929 » qui a plongé le monde dans le chaos.
Il est tant pour l’état de préparer l’offensive, de pensé à un modèle économique alternatif. Faut contrôler les ressources.